Dans une entreprise – comme dans toute communauté d’ailleurs – il existe des règles destinées au bon fonctionnement de l’ensemble. Nous disons bien : des règles, pas des principes, car des principes, on en a ou en n’en a pas, cela dépend de la culture, voire de la liberté de chacun ; tandis que seule la règle est capable de s’imposer à tous.
Les règles primordiales dans l’entreprise
Encore faut-il, naturellement, que l’on perçoive en amont de toute règle une réalité disposant qu’il existe une culture d’entreprise en général, donc des règles primordiales sans lesquelles une entreprise ne peut pas tenir debout. Donnons un exemple : l’entreprise est destinée à produire de la richesse, au minimum de quoi permettre à ceux qui y travaillent de vivre du produit de leur activité. Cela vaut pour toute entreprise, sans quoi elle vivrait aux dépens d’une autre richesse non produite par elle-même, tant que son activité serait déficitaire. Par parenthèse, ce que nous disons aujourd’hui vaut pour l’entreprise au sens plein du terme, celui de l’activité économique, mais naturellement nous savons qu’il existe des établissements qui, compte tenu de leur secteur d’activité, ne dépendent pas de la recherche du profit, tout en se conformant aux règles générales du fonctionnement. C’est le cas des services publics, qui peuvent se permettre, du moins tant qu’un consensus y consent, de ne produire que du déficit, mais pour le bien commun, en l’occurrence l’administration collective dont la raison d’être est de faciliter nos relations, de les harmoniser parfois, ou de répartir les fruits de l’activité économique.
Dans une entreprise – comme dans toute communauté d’ailleurs – il existe des règles destinées au bon fonctionnement de l’ensemble. Nous disons bien : des règles, pas des principes, car des principes, on en a ou en n’en a pas, cela dépend de la culture, voire de la liberté de chacun ; tandis que seule la règle est capable de s’imposer à tous.
Les règles primordiales dans l’entreprise
Encore faut-il, naturellement, que l’on perçoive en amont de toute règle une réalité disposant qu’il existe une culture d’entreprise en général, donc des règles primordiales sans lesquelles une entreprise ne peut pas tenir debout. Donnons un exemple : l’entreprise est destinée à produire de la richesse, au minimum de quoi permettre à ceux qui y travaillent de vivre du produit de leur activité. Cela vaut pour toute entreprise, sans quoi elle vivrait aux dépens d’une autre richesse non produite par elle-même, tant que son activité serait déficitaire. Par parenthèse, ce que nous disons aujourd’hui vaut pour l’entreprise au sens plein du terme, celui de l’activité économique, mais naturellement nous savons qu’il existe des établissements qui, compte tenu de leur secteur d’activité, ne dépendent pas de la recherche du profit, tout en se conformant aux règles générales du fonctionnement. C’est le cas des services publics, qui peuvent se permettre, du moins tant qu’un consensus y consent, de ne produire que du déficit, mais pour le bien commun, en l’occurrence l’administration collective dont la raison d’être est de faciliter nos relations, de les harmoniser parfois, ou de répartir les fruits de l’activité économique.